Le bâton pour le fautif

El 3assa liman 3assa

L’apprentissage peut parfois être douloureux. Au sein et au dessus de la génération aujourd’hui 40tenaire, beaucoup ont vécu une relation compliquée avec le prof d’arabe qui, pour une faute ou une mauvaise prononciation, pouvait se mettre VRAIMENT en colère…

Alors… le bâton ou les bonbecks?

C’est une question qui revient souvent en pédagogie. Aujourd’hui, dans de nombreux instituts, c’est la douceur qui prime. En effet, selon la mode actuelle, l’apprenant doit être chouchouté et, ce qui compte par dessus tout, c’est qu’il soit bien à son aise pour apprendre et progresser. C’est la méthode Fassaha

Pour autant, les apprenants sont tous différents. Certains réclament une autorité absolue pour pouvoir s’investir et se motiver. Alors… où serait la limite, s’il y en a une?

Pour des adultes, la question est vite traitée : il n’est pas imaginable de laisser un professeur nous crier dessus, ou bien même lever la main… mais pour les enfants? Là le sujet devient différent. On touche à l’éducation, et chacun se sent le droit décider, pour son propre enfant. Après, il y a ce que dit la loi :))

Notre avis 🙂

Nous lançons les cours pour les enfants à partir de Septembre. On vous laisse deviner, entre le baton ou les bonbecks, ce qu’on va choisir comme méthode :))